L’île de l’Océan Pacifique est en proie aux violences urbaines depuis lundi dernier. A tel point que le Président de la République a dû décréter l’état d’urgence.
Par ailleurs, les médias locaux et nationaux relaient actuellement ces évènements.
Dans ce contexte, nous savons toutes et tous qu’il est toujours extrêmement difficile d’exercer librement et sereinement ses déplacements et son travail dans un tel environnement, Force Ouvrière demande à la Direction de France Télévisions de prendre toutes les dispositions nécessaires pour assurer la sécurité des salariés de Nouvelle Calédonie la Première. Tant sur le terrain qu’en station, afin qu’ils puissent tenir informer librement et en toute sécurité leurs auditeurs, téléspectateurs et internautes.
Et l’état d’urgence ne pourra en aucun cas être opposé pour contraindre les journalistes, notamment d’exercer leurs missions d’informations.